Laissez moi vous conter la légende de Rahatu…
L’histoire d’un dieu aux origines confuses et bien mystiques. Tellement floue que Rahatu a bien du mal à narrer ses origines. Et bien que chaque île raconte sa propre histoire et peut donner différend nom comme Rehatu ou Ruahatu par exemple, il ne fait aucun doute qu’il fasse partie des dieux de l’océan les plus puissants.
Jadis, le monde lors de sa création, fut partagé entre différends dieux afin de préserver l’équilibre de notre univers. Certains parlaient d’un accord faisant suite à une trahison divine, d’une guerre, ou alors d’un marché mutuel pour éviter de voir le monde mourir, quoi qu’il en soit Rehatu reçu à la fin le contrôle des mers et des océans. Important au panthéon et pour les îles, ce fut lui qui veillait au bon cheminement des pêcheurs, voyageurs et marchands. Tantôt dieu bien veillant qui guidait le marin et nourrissait les peuples, tantôt divinité colérique qui pouvait faire abattre la pire des tempêtes, faisant soit perdre le navigateur au milieu de l’océan ou mourir sous les flots.
On lui prête aussi de nombreuses légendes allant dans ce sens. Comme par exemple, aider un héros lors de son voyage pour venir à bout de tel monstre maléfique, trouver un trésor, un objet magique ou aider ceux perdus en mer… Si ce n’était l’inverse, faisant déchaîner les flots et envoyer les pires horreurs des profondeurs pour châtier l’impudent. Et parmi tous ces récits, un en ressortait. L’histoire la plus connue à son sujet, qui peut bien refléter cette dualité qui le caractérisait tant. Un récit dont beaucoup de contemporains nommèrent le « Déluge polynésien. »
Cela remontait à une époque immémoriale, se passant au large de l’île de Raiatea, le cœur d’Opoa. Le peuple vivait heureux et ne manqua de rien, tant les dieux se montraient généreux avec leur création. C’était un endroit vivant en paix où les inquiétudes pouvaient sembler dérisoires. Mais peut-être était-ce cet excès de bien-être, qui donna du zèle à ce même peuple. Deux amis, deux pêcheurs répondant aux noms de Teahoroa et Ro’o ente dirent parler d’un îlot où le poisson était aussi nombreux que les étoiles pendant la nuit et où toute la faune marine venait ce rassemblé. Heureux d’apprendre une telle chose, ils allèrent tous les deux sur place pour pêcher le plus possible de poisson et revenir comme des héros.
Hélas, leur ignorance allait coûter chère. Car si la vie aquatique était si forte ici, ce fut parc qu’il s’agissait d’une terre sacrée. C’était là où Ruahatu venait se reposer et où son peuple marin vint chercher sa protection et son réconfort. Et c’était pendant l’un de ses repos, que Teahoroa et Ro’o vinrent pêcher. Lorsqu’ils lancèrent leur hameçon en pierre, cela réveilla le dieu endormi, qui se blessai par le passage. Furieux, il remonta rouge de colère et gronda de sa voix la plus terrible :
« Qui a osé me réveiller et me blesser sur cet îlot sacré ? »
Les deux amis prirent peur et reconnurent le dieu des océans.
« Pardonne nous père des mers et des océans ! Nous ignorions où nous nous trouvions, nous voulions juste rapporter de quoi manger à nos familles et notre peuple. »
Rahatu regarda un instant les deux pauvres vieux pêcheurs devant lui. Et sa colère, semblait s’apaisait peu à peu. Mais avant de leur administrer une quelconque punition, il leur demanda :
« D’où vendez-vous ?
-De l’île de Raiatea, au roi de l’océan.
-Avez-vous des femmes ?
-Oui, l’île en regorge.
-Avez-vous une famille, parents, femmes et enfants ?
-Oui, nous en avons sur l’île. Nous avons chacun une femme et des enfants, ainsi que des petits-enfants seigneur.
-Ne se trouve t’il pas sur votre île, une famille royale ?
-Oui, nous en avons une.
-Ne s’y trouve t’il donc pas, une princesse chérie des dieux ?
-Oui, la princesse Airaro vit sur cette île. »
En réalité, Rahatu se retrouvait face à un terrible dilemme. Bien que sa colère ne l’eût pas encore pleinement quitté, il comprenait que ces deux humains n’avaient aucune mauvaise intention et serait difficile de les punir pour ça. De plus, la princesse Airaro était d’une telle beauté, que le dieu des océans l’aimait secrètement et ne supporterait pas de voir cette jeune mortelle périr par la faute de ces deux imprudents. Hélas, il ne pouvait fermer les yeux sur l’affront fait, car une loi divine fut brisée.
« Ecoutez moi ! En venant ici et en me blessant, vous avez provoqué non seulement ma colère, mais celle des dieux. Par conséquent, votre île sera submergée par les flots. Toutefois, je vous accorde une chance de vous racheter et de sauver tout le monde. Vous avez jusqu’au soir pour prévenir tout le mont. Vous vous réfugierez au sommet du mont Te Mehani qui sera épargner. »
Au départ épouvanter, les deux pêcheurs se dépêchèrent pour prévenir tout le monde. Beaucoup entendirent cette funeste prophétie et se mirent à préparer des pirogues pour rejoindre le Te Mehani. Même la famille royale encouragea son peuple à fuir. Hélas, tous ne l’entendirent pas ainsi, croyant à une plaisanterie. Et quand le soir arriva, les eaux montèrent, des vagues monstrueuses, balayèrent la surface de l’île. Tous ceux qui étaient restés sur cette terre, moururent. Seuls ceux étant partis avec familles et animaux, survécurent et furent guider par la princesse Airaro. Qui le lendemain, ramena les siens sur l’île qui, miraculeusement, refit surface. Par contre, il n’en resta rien. Tout animal et toute plante n’était plus. Et le peuple dut se nourrir grâce à la pêche que leur accordait Ruahatu pour les aider à repartir pour un nouvel âge.
Par la suite, on prêta de nombreuses autres légendes pour ce dieu quelque peu compliqué. Mais il y a un récit dont peu connaisse l’histoire et les implications que cela portait sur le monde des mortels. Il s’agissait de l’union des différends Panthéons. Pour certains, ils y virent une mauvaise chose et le firent comprendre. Pour d’autres, ils acceptaient et défendaient la chose. Chaque panthéon choisissait un dieu-roi qui les représenterait. Ce qui déjà, pouvait provoquer des conflits à l’intérieur des différends panthéons. Mais concernant Rahatu, ce dernier accepta cette « réforme » des dieux. Si cela devait apporter la paix et l’harmonie, alors il soutiendrait. Surtout, si cela l’aidait à protéger son royaume, que les dieux unis, ne viendraient nullement nuire à son domaine. Mais ce fut une grossière erreur.
Car les dieux opposés à ce projet, déclenchèrent une guerre civile. Aucun dieu ne pouvait échapper au conflit. Et Rahatu non plus. Toutefois, il pensa que s’il venait en aide au Garden, il parviendrait à maintenir cette forme de paix et de sécurité pour la terre et l’océan. Ainsi, se rangea-t-il de leur côté durant la guerre. Hélas, l’issu n’épargna aucun dieu, qu’il soit Garden ou Rebellious. Au moment même où Rahatu s’apprêtait à donner le coup de grâce à son adversaire, il fut envoyé sur l’île de Caelesti dans un tout nouveau corps, n’ayant rien à voir avec son ancienne vie. Et pour couronner le tout, le transfert fut si brutal, que le dieu de l’océan polynésien se vit perdre aussi… La mémoire.
Devenue amnésique, avec des souvenirs d’un passé confus, il se vit vêtir de l’identité de Kyle Fisher. Cette nouvelle vie lui paraissait si familière. Il vivait sur un bateau, un petit Yacht où il fit de la plongée pour lui ou pour d’autres s’il ne faisait pas faire un voyage sur l’eau. Pourtant, son ancienne vie n’était pas morte. Car ce lien qu’il ressentait avec l’océan était toujours aussi fort, il éprouvait toujours le besoin de le protégé. Et sa vie bascula à nouveau, lorsqu’il redécouvrit ses pouvoirs.
Alors qu’il marchait au bord de l’eau un soir. Un groupe d’individus agressait quelqu’un. Très vite, il se dépêcha pour prêter assistance, mais ces agresseurs manquèrent d’avoir le dessus sur lui. Manquèrent, car alors qu’il se retrouva coucher sur le sol, à subir les coups de ces étranges créatures, il se vit contrôler l’eau voisin, qui vint les projeter en arrière. L’eau même lui obéissait et grâce à elle, il put sauver non seulement sa vie, mais celle des voyageurs, qui apeurés, s’enfuir.
Kyle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, alors il chercha à cacher son don. Cela semblait lié à cet étrange tatouage qu’il avait sur l’épaule, qui devenait lumineux, bleu comme l’océan au moment où ce « don » s’était réveillé. Il compte bien réussir à l’utiliser et comprendre en même temps, ce qui lui arrivait…
Jadis, le monde lors de sa création, fut partagé entre différends dieux afin de préserver l’équilibre de notre univers. Certains parlaient d’un accord faisant suite à une trahison divine, d’une guerre, ou alors d’un marché mutuel pour éviter de voir le monde mourir, quoi qu’il en soit Rehatu reçu à la fin le contrôle des mers et des océans. Important au panthéon et pour les îles, ce fut lui qui veillait au bon cheminement des pêcheurs, voyageurs et marchands. Tantôt dieu bien veillant qui guidait le marin et nourrissait les peuples, tantôt divinité colérique qui pouvait faire abattre la pire des tempêtes, faisant soit perdre le navigateur au milieu de l’océan ou mourir sous les flots.
On lui prête aussi de nombreuses légendes allant dans ce sens. Comme par exemple, aider un héros lors de son voyage pour venir à bout de tel monstre maléfique, trouver un trésor, un objet magique ou aider ceux perdus en mer… Si ce n’était l’inverse, faisant déchaîner les flots et envoyer les pires horreurs des profondeurs pour châtier l’impudent. Et parmi tous ces récits, un en ressortait. L’histoire la plus connue à son sujet, qui peut bien refléter cette dualité qui le caractérisait tant. Un récit dont beaucoup de contemporains nommèrent le « Déluge polynésien. »
Cela remontait à une époque immémoriale, se passant au large de l’île de Raiatea, le cœur d’Opoa. Le peuple vivait heureux et ne manqua de rien, tant les dieux se montraient généreux avec leur création. C’était un endroit vivant en paix où les inquiétudes pouvaient sembler dérisoires. Mais peut-être était-ce cet excès de bien-être, qui donna du zèle à ce même peuple. Deux amis, deux pêcheurs répondant aux noms de Teahoroa et Ro’o ente dirent parler d’un îlot où le poisson était aussi nombreux que les étoiles pendant la nuit et où toute la faune marine venait ce rassemblé. Heureux d’apprendre une telle chose, ils allèrent tous les deux sur place pour pêcher le plus possible de poisson et revenir comme des héros.
Hélas, leur ignorance allait coûter chère. Car si la vie aquatique était si forte ici, ce fut parc qu’il s’agissait d’une terre sacrée. C’était là où Ruahatu venait se reposer et où son peuple marin vint chercher sa protection et son réconfort. Et c’était pendant l’un de ses repos, que Teahoroa et Ro’o vinrent pêcher. Lorsqu’ils lancèrent leur hameçon en pierre, cela réveilla le dieu endormi, qui se blessai par le passage. Furieux, il remonta rouge de colère et gronda de sa voix la plus terrible :
« Qui a osé me réveiller et me blesser sur cet îlot sacré ? »
Les deux amis prirent peur et reconnurent le dieu des océans.
« Pardonne nous père des mers et des océans ! Nous ignorions où nous nous trouvions, nous voulions juste rapporter de quoi manger à nos familles et notre peuple. »
Rahatu regarda un instant les deux pauvres vieux pêcheurs devant lui. Et sa colère, semblait s’apaisait peu à peu. Mais avant de leur administrer une quelconque punition, il leur demanda :
« D’où vendez-vous ?
-De l’île de Raiatea, au roi de l’océan.
-Avez-vous des femmes ?
-Oui, l’île en regorge.
-Avez-vous une famille, parents, femmes et enfants ?
-Oui, nous en avons sur l’île. Nous avons chacun une femme et des enfants, ainsi que des petits-enfants seigneur.
-Ne se trouve t’il pas sur votre île, une famille royale ?
-Oui, nous en avons une.
-Ne s’y trouve t’il donc pas, une princesse chérie des dieux ?
-Oui, la princesse Airaro vit sur cette île. »
En réalité, Rahatu se retrouvait face à un terrible dilemme. Bien que sa colère ne l’eût pas encore pleinement quitté, il comprenait que ces deux humains n’avaient aucune mauvaise intention et serait difficile de les punir pour ça. De plus, la princesse Airaro était d’une telle beauté, que le dieu des océans l’aimait secrètement et ne supporterait pas de voir cette jeune mortelle périr par la faute de ces deux imprudents. Hélas, il ne pouvait fermer les yeux sur l’affront fait, car une loi divine fut brisée.
« Ecoutez moi ! En venant ici et en me blessant, vous avez provoqué non seulement ma colère, mais celle des dieux. Par conséquent, votre île sera submergée par les flots. Toutefois, je vous accorde une chance de vous racheter et de sauver tout le monde. Vous avez jusqu’au soir pour prévenir tout le mont. Vous vous réfugierez au sommet du mont Te Mehani qui sera épargner. »
Au départ épouvanter, les deux pêcheurs se dépêchèrent pour prévenir tout le monde. Beaucoup entendirent cette funeste prophétie et se mirent à préparer des pirogues pour rejoindre le Te Mehani. Même la famille royale encouragea son peuple à fuir. Hélas, tous ne l’entendirent pas ainsi, croyant à une plaisanterie. Et quand le soir arriva, les eaux montèrent, des vagues monstrueuses, balayèrent la surface de l’île. Tous ceux qui étaient restés sur cette terre, moururent. Seuls ceux étant partis avec familles et animaux, survécurent et furent guider par la princesse Airaro. Qui le lendemain, ramena les siens sur l’île qui, miraculeusement, refit surface. Par contre, il n’en resta rien. Tout animal et toute plante n’était plus. Et le peuple dut se nourrir grâce à la pêche que leur accordait Ruahatu pour les aider à repartir pour un nouvel âge.
Par la suite, on prêta de nombreuses autres légendes pour ce dieu quelque peu compliqué. Mais il y a un récit dont peu connaisse l’histoire et les implications que cela portait sur le monde des mortels. Il s’agissait de l’union des différends Panthéons. Pour certains, ils y virent une mauvaise chose et le firent comprendre. Pour d’autres, ils acceptaient et défendaient la chose. Chaque panthéon choisissait un dieu-roi qui les représenterait. Ce qui déjà, pouvait provoquer des conflits à l’intérieur des différends panthéons. Mais concernant Rahatu, ce dernier accepta cette « réforme » des dieux. Si cela devait apporter la paix et l’harmonie, alors il soutiendrait. Surtout, si cela l’aidait à protéger son royaume, que les dieux unis, ne viendraient nullement nuire à son domaine. Mais ce fut une grossière erreur.
Car les dieux opposés à ce projet, déclenchèrent une guerre civile. Aucun dieu ne pouvait échapper au conflit. Et Rahatu non plus. Toutefois, il pensa que s’il venait en aide au Garden, il parviendrait à maintenir cette forme de paix et de sécurité pour la terre et l’océan. Ainsi, se rangea-t-il de leur côté durant la guerre. Hélas, l’issu n’épargna aucun dieu, qu’il soit Garden ou Rebellious. Au moment même où Rahatu s’apprêtait à donner le coup de grâce à son adversaire, il fut envoyé sur l’île de Caelesti dans un tout nouveau corps, n’ayant rien à voir avec son ancienne vie. Et pour couronner le tout, le transfert fut si brutal, que le dieu de l’océan polynésien se vit perdre aussi… La mémoire.
Devenue amnésique, avec des souvenirs d’un passé confus, il se vit vêtir de l’identité de Kyle Fisher. Cette nouvelle vie lui paraissait si familière. Il vivait sur un bateau, un petit Yacht où il fit de la plongée pour lui ou pour d’autres s’il ne faisait pas faire un voyage sur l’eau. Pourtant, son ancienne vie n’était pas morte. Car ce lien qu’il ressentait avec l’océan était toujours aussi fort, il éprouvait toujours le besoin de le protégé. Et sa vie bascula à nouveau, lorsqu’il redécouvrit ses pouvoirs.
Alors qu’il marchait au bord de l’eau un soir. Un groupe d’individus agressait quelqu’un. Très vite, il se dépêcha pour prêter assistance, mais ces agresseurs manquèrent d’avoir le dessus sur lui. Manquèrent, car alors qu’il se retrouva coucher sur le sol, à subir les coups de ces étranges créatures, il se vit contrôler l’eau voisin, qui vint les projeter en arrière. L’eau même lui obéissait et grâce à elle, il put sauver non seulement sa vie, mais celle des voyageurs, qui apeurés, s’enfuir.
Kyle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, alors il chercha à cacher son don. Cela semblait lié à cet étrange tatouage qu’il avait sur l’épaule, qui devenait lumineux, bleu comme l’océan au moment où ce « don » s’était réveillé. Il compte bien réussir à l’utiliser et comprendre en même temps, ce qui lui arrivait…