Sur une montagne dominant une imposante île, vivait une jeune femme répondant au doux nom de Clitô. Cette ravissante créature était en plein désarroi. Ayant déjà perdue sa mère jeune, voilà qu’elle venait d’enterrer son père, condamner ainsi à la plus terrible des solitudes sur ce rocher sans vie. Elle ne connaissait rien du monde, si ce n’était sa maison et la montagne avec sa campagne et ses bois tout autour. On lui eut apprit à survivre, trouver de quoi manger en travaillant la terre et cueillant des fruits dans l’abondante forêt. Mais seule, et se sut perdue. Du moins, c’était ce qu’elle croyait.
Car une aussi divine créature en pleine détresse, ne passa pas inaperçu auprès des dieux. Et c’était l’un des plus importants, qui jeta son dévolu sur elle. Attirer par la belle solitaire, le seigneur des mers et des océans vint à elle. Au début, Clitô fut effrayée et chercha à s’enfuir. Comme de nombreuses conquêtes, Poséidon aurait pu la prendre sans demander le consentement. Cependant, il préféra une approche plus douce, comme si la jeune femme éveillait autre chose qu’un désire charnel en lui.
« N’est pas peur ! » Lui cria Poséidon. « Car je viens t’apporter un très grand destin. Si tu t’unie à moi, tu deviendras la mère d’un royaume si vaste, qui recouvrira l’Océan et défiera par sa puissance, et son savoir, le reste du monde entier. »
Clitô ne sut quoi répondre. Que pouvait-elle face à un dieu ? Elle connaissait le sort tragique de toutes celles l’ayant fui. Et puis, comme n’ayant rien tenter contre elle, la jeune femme se laissa séduire non seulement par la belle promesse du maître du trident, mais aussi par la présence de ce dernier. Ainsi tous deux dans leur union, donneront naissance à dix fils, dont Atlas étant le premier né.
Dans beaucoup de mythes, le héros naissait dans une tragédie. Père ou mère tué, prophétie macabre à sa naissance, abandon, malédiction… Mais pas Atlas et ses frères. Tous vécurent heureux et en paix au sommet de leur montagne avec leur mère. Et Poséidon veillait à les bénir. Pour cela, il fit jaillir une source au sommet de l’île, à côté de la demeure, afin que jamais ils ne viennent à manquer d’eau, de poisson et on prêtait même à cette fontaine, des vertus magiques. On pouvait dire qu’ils vivaient alors dans un cadre idyllique, que ne pouvait que s’améliorer.
Atlas devint alors un beau jeune homme. Fort, intelligent, cultivé et passionné, il ne se doutait pas de ce qu’il allait accomplir. Un jour, alors qu’il se rendait aux champs, un homme apparu devant lui. Vêtu comme un mendiant, Atlas fut fort surprit de découvrir un autre habitant que lui et sa famille. Loin de l’en chasser, il accueillit volontiers l’étranger. Le mendiant lui demanda alors un lit chaud et de la soupe pour juste une nuit et le paiera du mieux qu’il le pourra avant de tenter de reprendre la mer.
« Mais ! Restez donc aussi longtemps qu’il vous faudra ! Nous sommes onze chez-nous, mais vous pourrez prendre ma couche à ma place. Et nous vous donnerons tout ce que nous pourrons pour votre voyage. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le mendiant fut très bien accueilli par toute la famille, et chacun apporta ses dons à leur invité. Mais au matin, l’homme dévoila son identité. Il s’agissait de nul autre que de Poséidon. Tous s’inclinèrent, y comprit Clitô, son ancienne maîtresse. Le seigneur des mers et des océans leur expliqua qu’elle était en réalité son dessin :
« Je voulu tester le cœur de ma progéniture. Sois en fière ma belle Clitô, tu as fait de si beaux et bons enfants. Et pour tenir ma parole faite il y a des années, voici ma bénédiction. Atlas ! Ta bonté de cœur mérite d’être récompenser. Ton initiative fut si bonne que voilà ce que j’attends de toi. Ici, sur cette montagne, tu bâtiras un sanctuaire à ma gloire qui protégera votre fontaine. Ce sera le plus beau de tous les palais jamais construit. Vous mes autres fils, comme vous l’avez secondé dans son hospitalité, vous l’aiderez dans cette entreprise. Et bientôt, vous serrez tous plus riche et plus sage que tous les rois grecs réunis. »
Ainsi Atlas et ses frères s’attelèrent à la tâche. Avec l’aide de passants et visiteurs sur l’île, l’appel à la main d’œuvres des îles voisines même, un immense temple en marbre fut érigé. Et en son cœur, une fontaine richement décorée, protégé la source sacrée. On apprit même à cette époque, à forger l’Orichalque, le métal typique de l’île pour orner le temple. Poséidon, si heureux de cette merveille, créa un canal remplit d’eau tout autour de la montagne, afin de défendre l’acropole contre d’éventuels ennemis venu de l’extérieur. Mais son ambition ne s’arrêta pas là, il eut d’autres projets pour ses fils.
Creusant un second anneau de terre, mais ouvert, autour de l’acropole, il commanda la chose suivante :
« Construisez une ville sur ces terres dont je viens de dessiner. Qu’elle brille au soleil, et soit un joyau que rien ne pourrait rivaliser. Une fois faite, vous serrez tous rois de cette île, vous partageant le pouvoir, mais Atlas dominera sur vous. »
Un projet titanesque, où rapidement, des temples, des palais, des tours et des statues se levèrent de la terre. Ce nouveau royaume faisait rapidement envie à tout le monde y compris aux dieux. Certains d’entre eux vinrent prêter leur concours en échange d’un culte sur ces terres. Par exemple, Apollon fit venir les plus grands savants et artistes du monde connu. Hadès apporta de multiple richesses, Héphaïstos, du minerai en abondance. Artémis de la viande en foison, etc. etc. Et cette toute jeune nation, sera bientôt connu sous le nom de l’Atlantide, en hommage à son maître bâtisseur Atlas.
Pendant des années, l’Atlantide vivait en paix. Elle ne connut que très peu de guerre, ce qui lui fut profitable pour devenir une des nations les plus avancés en termes de science, de technologie, de culture, etc. En réalité, cet empire qui ne connaîtrait bientôt plus aucune limite, devenait une immense bibliothèque qui attirait les plus grands érudits. Désireuse de faire partager son savoir, l’Atlantide entreprit d’enseigner ses connaissances aux mondes entiers. Elle apporta son savoir-faire en Europe, en Afrique et une partie de l’Asie. On enseignait aussi bien l’agriculture et l’architecture et de nombreuses sciences. Bien que ce savoir fût profitable, très vite les autres nations finiront par voir d’un mauvais œil, ce peuple jugeait envahissant.
Atlas, bien que fils d’un dieu, était malheureusement soumit aux effets du temps. Moins qu’un mortel, mais la vieillesse et la mort ne lui furent pas retirer. Toutefois, il consacra toute sa vie à la prospérité de la cité, veillant à rester un souverain juste et aimant pour son peuple. Attrister par ce qui attendait son fils chéri, Poséidon envoya un héros chercher de l’ambroisie. Cet aliment divin fut offert à Atlas comme récompense pour service rendu. En y mangeant, le roi devint un dieu, échappant à son funeste destin. Tout le monde l’acclamait et firent même un culte pour ce nouveau dieu-roi ayant rejoint l’Olympe. Mais ceci n’était que le signal du début de la chute.
Atlas veilla toujours sur l’Atlantide, devenant son second dieu protecteur. Le pouvoir fut laissé entre les mains de ses frères et de sa descendance. Tout semblait aller pour le mieux jsuqu’à…
Sa femme Elpis était mourante. Ne voulant la laisser périr à son tour, il désirait la sauver en lui offrant également de l’ambroisie. Mais les autres dieux refusèrent, ne voulant voir une mortelle les rejoindre. Et malgré toutes les tentatives d’Atlas, son amour mourut, le plongeant dans un immense chagrin. Puis, le peuple Atlante se détourna peu à peu de leurs dieux. Etant si avancer sur presque tous les domaines, il se prit tous pour les nouveaux olympiens et voulurent imposer leur volonté au monde entier. Là, ce fut la goute de trop pour les autres nations. Tous les peuples et leurs dieux livrèrent une guerre contre l’Atlantide sous l’égide d’Athènes.
Un combat qui durait, mais mit à mal la patience des dieux de l’olympe. Loin de vouloir soutenir son peuple, Poséidon et Atlas, furent choquer de voir l’Atlantide si corrompu, bestiale, ayant sacrifier leurs anciennes valeurs, et ne vénérant plus les dieux. Encore bien plus peiné qu’avant, Atlas laissa son père, avec son concours, d’anéantir l’empire Atlante dans un effroyable cataclysme.
Que c’était-il passé ensuite ? Et bien les choses ne semblèrent pas s’arranger pour le fils de Poséidon. Chambouler par tous ces événements, il ne savait plus trop quoi faire. Son lieu de culte, sa maison, toute sa raison de vivre, venait de disparaître. On le surnommait alors le dieu sans temple, le vagabond chez les dieux, car il n’avait plus rien. Il connut toutefois, quelques histoires comme des amours. Mais loin de son monde natal où il vivait comme dans un paradis, il fit face à la douloureuse expérience de la vie. La mort qui arrachait encore et encore les êtres aimé, la trahison, le mépris, l’ignorance, la bestialité sur chaque parcelle de terre… Las de tout cela, Atlas trouva refuge dans le domaine de son père, où il devint un de ses serviteurs.
Puis arriva enfin l’union des panthéons. Sachant que jadis, les dieux se battaient entre eux, Atlas cru que ceci ramènerait la paix, pour laquelle l’Atlantide se battait à ses débuts. Bien entendu, cela ne dura pas. Une guerre civile éclata, opposant deux groupes, les Rebellious, qui voulaient la destitution des dieux-rois, et les Gardens, leurs protecteurs. Quel que furent les convictions d’Atlas, ce dernier se rangea du côté de son père, devenant un de ses lieutenants. Il dirigea une parte de ses forces militaires et mena tant bien que mal le combat. On disait que toute cette violence, manquait d’avoir raison de lui, et de sa santé mentale. Tout ce chaos qu’il combattait, l’envoila agent. Il crut perdre définitivement tout ce qui était bon en lui, et devenir aussi brutale que les autres. Même, on disait qu’il devint pour de bon fou au moment où tous les dieux et créatures furent envoyé sur Caelesti.
Maintenant, il se fit nommer Kyle Fisher. Un jeune homme qui étrangement aimait vivre sur son bateau, en pleine mer, travaillant sous l’eau ou à l’aquarium. Pourquoi étrangement ? Car on dirait bien que Kyle fut frappé d’amnésie, ayant tout oublier de sa vie passée. Un effet secondaire du transfert, ou du début de sa folie ? En tout cas, il mena une vie plutôt tranquille, défendant cette fois-ci des valeurs comme l’écologie et le respect. Mais qu’arrivera-t-il s’il retrouvait la mémoire ? Déjà, Fisher se découvrit quelques dons incroyables. Comme quand une jeune femme près de la plage se faisait agresser, et que laissant exploser sa rage, l’eau lui obéissait en allant frapper et mettre en déroute l’agresseur.
Il se prit pour un mutant ou un vrai fou. Mais peu à peu, il apprit à maîtriser ses dons pour finir par se penser être une sorte de héros ou quelque chose dans le même ton. Mais tout changea depuis le message de l’Oracle. Car après le tremblement de terre, Kyle fut convié à d’autres à une étrange réunion. Là, il apprit pour de bon la vérité, mais refusa de le croire. Le prenant à part l’Oracle tenta de lui faire entendre raison, et pour y arriver, réveilla un de ses dons apprit sur l’Atlantide, la transmission de connaissance. Elle fit revenir peu à peu, fragment par fragment sa vie passée. Que risque-t-il donc de se passer après ?
Car une aussi divine créature en pleine détresse, ne passa pas inaperçu auprès des dieux. Et c’était l’un des plus importants, qui jeta son dévolu sur elle. Attirer par la belle solitaire, le seigneur des mers et des océans vint à elle. Au début, Clitô fut effrayée et chercha à s’enfuir. Comme de nombreuses conquêtes, Poséidon aurait pu la prendre sans demander le consentement. Cependant, il préféra une approche plus douce, comme si la jeune femme éveillait autre chose qu’un désire charnel en lui.
« N’est pas peur ! » Lui cria Poséidon. « Car je viens t’apporter un très grand destin. Si tu t’unie à moi, tu deviendras la mère d’un royaume si vaste, qui recouvrira l’Océan et défiera par sa puissance, et son savoir, le reste du monde entier. »
Clitô ne sut quoi répondre. Que pouvait-elle face à un dieu ? Elle connaissait le sort tragique de toutes celles l’ayant fui. Et puis, comme n’ayant rien tenter contre elle, la jeune femme se laissa séduire non seulement par la belle promesse du maître du trident, mais aussi par la présence de ce dernier. Ainsi tous deux dans leur union, donneront naissance à dix fils, dont Atlas étant le premier né.
Dans beaucoup de mythes, le héros naissait dans une tragédie. Père ou mère tué, prophétie macabre à sa naissance, abandon, malédiction… Mais pas Atlas et ses frères. Tous vécurent heureux et en paix au sommet de leur montagne avec leur mère. Et Poséidon veillait à les bénir. Pour cela, il fit jaillir une source au sommet de l’île, à côté de la demeure, afin que jamais ils ne viennent à manquer d’eau, de poisson et on prêtait même à cette fontaine, des vertus magiques. On pouvait dire qu’ils vivaient alors dans un cadre idyllique, que ne pouvait que s’améliorer.
Atlas devint alors un beau jeune homme. Fort, intelligent, cultivé et passionné, il ne se doutait pas de ce qu’il allait accomplir. Un jour, alors qu’il se rendait aux champs, un homme apparu devant lui. Vêtu comme un mendiant, Atlas fut fort surprit de découvrir un autre habitant que lui et sa famille. Loin de l’en chasser, il accueillit volontiers l’étranger. Le mendiant lui demanda alors un lit chaud et de la soupe pour juste une nuit et le paiera du mieux qu’il le pourra avant de tenter de reprendre la mer.
« Mais ! Restez donc aussi longtemps qu’il vous faudra ! Nous sommes onze chez-nous, mais vous pourrez prendre ma couche à ma place. Et nous vous donnerons tout ce que nous pourrons pour votre voyage. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le mendiant fut très bien accueilli par toute la famille, et chacun apporta ses dons à leur invité. Mais au matin, l’homme dévoila son identité. Il s’agissait de nul autre que de Poséidon. Tous s’inclinèrent, y comprit Clitô, son ancienne maîtresse. Le seigneur des mers et des océans leur expliqua qu’elle était en réalité son dessin :
« Je voulu tester le cœur de ma progéniture. Sois en fière ma belle Clitô, tu as fait de si beaux et bons enfants. Et pour tenir ma parole faite il y a des années, voici ma bénédiction. Atlas ! Ta bonté de cœur mérite d’être récompenser. Ton initiative fut si bonne que voilà ce que j’attends de toi. Ici, sur cette montagne, tu bâtiras un sanctuaire à ma gloire qui protégera votre fontaine. Ce sera le plus beau de tous les palais jamais construit. Vous mes autres fils, comme vous l’avez secondé dans son hospitalité, vous l’aiderez dans cette entreprise. Et bientôt, vous serrez tous plus riche et plus sage que tous les rois grecs réunis. »
Ainsi Atlas et ses frères s’attelèrent à la tâche. Avec l’aide de passants et visiteurs sur l’île, l’appel à la main d’œuvres des îles voisines même, un immense temple en marbre fut érigé. Et en son cœur, une fontaine richement décorée, protégé la source sacrée. On apprit même à cette époque, à forger l’Orichalque, le métal typique de l’île pour orner le temple. Poséidon, si heureux de cette merveille, créa un canal remplit d’eau tout autour de la montagne, afin de défendre l’acropole contre d’éventuels ennemis venu de l’extérieur. Mais son ambition ne s’arrêta pas là, il eut d’autres projets pour ses fils.
Creusant un second anneau de terre, mais ouvert, autour de l’acropole, il commanda la chose suivante :
« Construisez une ville sur ces terres dont je viens de dessiner. Qu’elle brille au soleil, et soit un joyau que rien ne pourrait rivaliser. Une fois faite, vous serrez tous rois de cette île, vous partageant le pouvoir, mais Atlas dominera sur vous. »
Un projet titanesque, où rapidement, des temples, des palais, des tours et des statues se levèrent de la terre. Ce nouveau royaume faisait rapidement envie à tout le monde y compris aux dieux. Certains d’entre eux vinrent prêter leur concours en échange d’un culte sur ces terres. Par exemple, Apollon fit venir les plus grands savants et artistes du monde connu. Hadès apporta de multiple richesses, Héphaïstos, du minerai en abondance. Artémis de la viande en foison, etc. etc. Et cette toute jeune nation, sera bientôt connu sous le nom de l’Atlantide, en hommage à son maître bâtisseur Atlas.
Pendant des années, l’Atlantide vivait en paix. Elle ne connut que très peu de guerre, ce qui lui fut profitable pour devenir une des nations les plus avancés en termes de science, de technologie, de culture, etc. En réalité, cet empire qui ne connaîtrait bientôt plus aucune limite, devenait une immense bibliothèque qui attirait les plus grands érudits. Désireuse de faire partager son savoir, l’Atlantide entreprit d’enseigner ses connaissances aux mondes entiers. Elle apporta son savoir-faire en Europe, en Afrique et une partie de l’Asie. On enseignait aussi bien l’agriculture et l’architecture et de nombreuses sciences. Bien que ce savoir fût profitable, très vite les autres nations finiront par voir d’un mauvais œil, ce peuple jugeait envahissant.
Atlas, bien que fils d’un dieu, était malheureusement soumit aux effets du temps. Moins qu’un mortel, mais la vieillesse et la mort ne lui furent pas retirer. Toutefois, il consacra toute sa vie à la prospérité de la cité, veillant à rester un souverain juste et aimant pour son peuple. Attrister par ce qui attendait son fils chéri, Poséidon envoya un héros chercher de l’ambroisie. Cet aliment divin fut offert à Atlas comme récompense pour service rendu. En y mangeant, le roi devint un dieu, échappant à son funeste destin. Tout le monde l’acclamait et firent même un culte pour ce nouveau dieu-roi ayant rejoint l’Olympe. Mais ceci n’était que le signal du début de la chute.
Atlas veilla toujours sur l’Atlantide, devenant son second dieu protecteur. Le pouvoir fut laissé entre les mains de ses frères et de sa descendance. Tout semblait aller pour le mieux jsuqu’à…
Sa femme Elpis était mourante. Ne voulant la laisser périr à son tour, il désirait la sauver en lui offrant également de l’ambroisie. Mais les autres dieux refusèrent, ne voulant voir une mortelle les rejoindre. Et malgré toutes les tentatives d’Atlas, son amour mourut, le plongeant dans un immense chagrin. Puis, le peuple Atlante se détourna peu à peu de leurs dieux. Etant si avancer sur presque tous les domaines, il se prit tous pour les nouveaux olympiens et voulurent imposer leur volonté au monde entier. Là, ce fut la goute de trop pour les autres nations. Tous les peuples et leurs dieux livrèrent une guerre contre l’Atlantide sous l’égide d’Athènes.
Un combat qui durait, mais mit à mal la patience des dieux de l’olympe. Loin de vouloir soutenir son peuple, Poséidon et Atlas, furent choquer de voir l’Atlantide si corrompu, bestiale, ayant sacrifier leurs anciennes valeurs, et ne vénérant plus les dieux. Encore bien plus peiné qu’avant, Atlas laissa son père, avec son concours, d’anéantir l’empire Atlante dans un effroyable cataclysme.
Que c’était-il passé ensuite ? Et bien les choses ne semblèrent pas s’arranger pour le fils de Poséidon. Chambouler par tous ces événements, il ne savait plus trop quoi faire. Son lieu de culte, sa maison, toute sa raison de vivre, venait de disparaître. On le surnommait alors le dieu sans temple, le vagabond chez les dieux, car il n’avait plus rien. Il connut toutefois, quelques histoires comme des amours. Mais loin de son monde natal où il vivait comme dans un paradis, il fit face à la douloureuse expérience de la vie. La mort qui arrachait encore et encore les êtres aimé, la trahison, le mépris, l’ignorance, la bestialité sur chaque parcelle de terre… Las de tout cela, Atlas trouva refuge dans le domaine de son père, où il devint un de ses serviteurs.
Puis arriva enfin l’union des panthéons. Sachant que jadis, les dieux se battaient entre eux, Atlas cru que ceci ramènerait la paix, pour laquelle l’Atlantide se battait à ses débuts. Bien entendu, cela ne dura pas. Une guerre civile éclata, opposant deux groupes, les Rebellious, qui voulaient la destitution des dieux-rois, et les Gardens, leurs protecteurs. Quel que furent les convictions d’Atlas, ce dernier se rangea du côté de son père, devenant un de ses lieutenants. Il dirigea une parte de ses forces militaires et mena tant bien que mal le combat. On disait que toute cette violence, manquait d’avoir raison de lui, et de sa santé mentale. Tout ce chaos qu’il combattait, l’envoila agent. Il crut perdre définitivement tout ce qui était bon en lui, et devenir aussi brutale que les autres. Même, on disait qu’il devint pour de bon fou au moment où tous les dieux et créatures furent envoyé sur Caelesti.
Maintenant, il se fit nommer Kyle Fisher. Un jeune homme qui étrangement aimait vivre sur son bateau, en pleine mer, travaillant sous l’eau ou à l’aquarium. Pourquoi étrangement ? Car on dirait bien que Kyle fut frappé d’amnésie, ayant tout oublier de sa vie passée. Un effet secondaire du transfert, ou du début de sa folie ? En tout cas, il mena une vie plutôt tranquille, défendant cette fois-ci des valeurs comme l’écologie et le respect. Mais qu’arrivera-t-il s’il retrouvait la mémoire ? Déjà, Fisher se découvrit quelques dons incroyables. Comme quand une jeune femme près de la plage se faisait agresser, et que laissant exploser sa rage, l’eau lui obéissait en allant frapper et mettre en déroute l’agresseur.
Il se prit pour un mutant ou un vrai fou. Mais peu à peu, il apprit à maîtriser ses dons pour finir par se penser être une sorte de héros ou quelque chose dans le même ton. Mais tout changea depuis le message de l’Oracle. Car après le tremblement de terre, Kyle fut convié à d’autres à une étrange réunion. Là, il apprit pour de bon la vérité, mais refusa de le croire. Le prenant à part l’Oracle tenta de lui faire entendre raison, et pour y arriver, réveilla un de ses dons apprit sur l’Atlantide, la transmission de connaissance. Elle fit revenir peu à peu, fragment par fragment sa vie passée. Que risque-t-il donc de se passer après ?