Il faisait beau ce jour là et je décidais de sortir un peu, les meubles pour mon cabinet devaient arriver le lendemain matin et en attendant, je ne pouvais rien faire. Les gens du quartier s’étaient habitués à mes allées et venues. Il faut dire que depuis trois jours, je mesurais, nettoyais, calculais comment j’allais aménager si bien le cabinet médical, la salle d’attente, le bureau d’une future aide médicale ou même mon appartement.
J’avais décidé de faire travailler les entreprises locales et commandé naturellement ce dont j’avais besoin. Les meubles allaient prendre environ un mois pour mon appartement et autant pour le bureau de mon lieu de travail. J’avais commandé mon divan d’examen et tout mon matériel en passant par le service commande de l’hôpital.
Mais là, je ne déambulais pas dans les rues par hasard, je me rendais à Njordalvïr pour me commander une vitrine résistante aux chocs. C'est ainsi que je me rendais au fjord car un habitant m'avait dit que le meilleur vitrier se trouvait là. J'entrais dans la boutique où un homme bourru me demanda ce que je désirais, me prenant sûrement pour la touriste que j'étais il y a encore une semaine. Je lui expliquais clairement mes désirs et l'affaire fut conclue. Un délai de trois jours me fut demandé et la pose était comprise. A peine avais-je fait trois pas dans la rue qu'un homme se rua sur moi et tenta de me voler mon sac à main m’assénant un violent coup au niveau des côtes, me coupant littéralement le souffle. Puis voyant que je ne lâcher toujours pas mon sac, il me donna un coup de poing en pleine figure. Fort heureusement pour moi, le vitrier sortit de son magasin et fit fuir ce fou furieux.
Il me fit rentrer chez lui me demandant s’il devait appeler un médecin et je lui souris disant que j’étais médecin. Je le vis alors regarder au dehors et il me dit qu’il allait me faire rencontrer quelqu’un qui allait pouvoir m’aider. Il sortit et je tentais de respirer à grands poumons mais la douleur me rappela à l’ordre. Je devais avoir une côte fêlée et les flottantes enfoncées. Mais je ne comprenais toujours pas pourquoi cet homme s’en était pris à moi. C’est alors que je vis entrer un homme plutôt grand, brun et machinalement entre deux pauses respiratoires, je lui comptais mon agression oubliant de me présenter tellement j'étais heureuse qu'on se préoccupa de moi. je remédiais rapidement à cet oubli.
- Je suis Samantha Dawnford, je viens de m’installer comme médecin à Ardreven.
Mer 2 Oct - 8:09
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Mon Gamma est : Un tatouage en forme de fléche (rune Tiwaz) sur l'avant-bras gauche
On m'appelle : Tyr
Je possède le pouvoir de : Manipuler le vent, j'ai aussi une force accrue et une peau très résistante.
J'ai rejoins le clan de : REBELLIOUS
Je suis d'origine : D'Asgard
Sven Madsen
Une agression gratuite
Aujourd’hui étant son jour de repos, repos que sa secrétaire avait insisté pour lui faire prendre, car en temps normal il ne prend jamais de jour de congé. En tant que dieu, même avec ses pouvoirs diminués, il ne tombe pas malade comme certains humains, il se fatigue aussi beaucoup moins que ceux-ci. Et puis, il aime avoir son esprit occupé et par quelque chose d’assez stimulant pour lui. Au début réticent, il se dit que ce temps libre pourrait lui permettre d’explorer un peu plus la ville, partir à la recherche d’autres dieux. Même si le train train quotidien s’était installé il n’en oubliait pas son but premier, retrouver Odin et se venger de lui. Si seulement il pouvait retrouver d’autres Rebellious déjà, cela pourrait faire de potentiel allié. Car pour l’instant il n’avait retrouvé que des ennemis. Il y avait eu l’un des loups d’Odin, lequel il doute encore, sous les traits de l’inspecteur Derek Asulf. Puis il y avait eu Sif et bien qu’il eut passé un bon moment à la taquiner comme dans le temps, il savait qu’il ne pourrait rien tirer d’elle.
Hors de question de toute manière de rester chez lui à regarder la télé et puis quoi encore, ce serait une perte massive de temps. Comme il ne travaille pas aujourd’hui il avait opté pour une tenue plus décontractée, sans pour autant être streetwear. Il enfila sa veste et sortit dehors. Il avait choisi de marcher un peu jusqu’au centre-ville. Cet air frais était revigorant, il n’y avait pas foule dans les rues, ainsi il se sentait très bien. Etant d’Asgard il est habitué au froid d’ici. Alors qu’il passait tranquillement dans une rue marchande, il vit un homme courir droit devant lui, le bousculant au passage. Il le fusilla du regard, mais n’en tient pas plus que ça rigueur. En passant devant une boutique, celle d’un vitrier, il vit une jeune femme par terre, le visage légèrement amoché par ce qui semblait être un coup de poing. Il repensa à l’homme à l’homme qu’il venait de croiser et décida d’entrer pour en avoir le coeur net et pour s’assurer aussi qu’elle aille bien, il n’a pas un coeur de pierre après tout. Il s’approcha donc de la jeune femme pour lui demander, celle-ci lui expliqua toute l’histoire, confirmant ce qu’il pensait. Il se présenta ensuite à lui, ainsi donc elle était médecin.
«Ardreven... Vous êtes bien loin de chez vous docteur.... Rares sont ceux qui s’aventurent en Njordalvir». Dit-il, un sourire en coin.
Sous regard la balaya rapidement, non pour la reluquer, c’est une très belle femme, mais il sait se tenir, non plus pour regarder si elle n’est pas blessée. Elle avait du mal à respirer, il espérait quelle ne soit pas fêlée une côte, dans ce cas-là il faudrait qu’il la conduise à l’hôpital.
«Vous êtes sûr que vous allez bien, il vaudrait mieux aller à l’hôpital, je peux vous y conduire si vous voulez, il faut juste que je passe prendre ma voiture, j’habite non loin d'ici»
Il ajouta, se présentant à son tour.
«Je m’appelle Sven Madsen au fait, je suis avocat».
«Ardreven... Vous êtes bien loin de chez vous docteur.... Rares sont ceux qui s’aventurent en Njordalvir». Dit-il, un sourire en coin.
«Vous êtes sûr que vous allez bien, il vaudrait mieux aller à l’hôpital, je peux vous y conduire si vous voulez, il faut juste que je passe prendre ma voiture, j’habite non loin d'ici»
Il ajouta, se présentant à son tour.
«Je m’appelle Sven Madsen au fait, je suis avocat».
Non pas la peine d'appeler un médecin, je ferais mes soins moi-même. Si loin d'Ardreven ? En vélo ça va, ce n'est qu'une promenade de santé. Je suis venue voir un vitrier mais on m'avait dit qu'ici les gens étaient pacifistes. Désolée, je n'ai pas parler pour vous. Un avocat dites vous ? C'est un beau métier mais pensez-vous pouvoir m'aider à retrouver mon agresseur ? J'ai l'impression d'être une cible sur cette île. Poignardée il y a 8 jours, violentée aujourd'hui, je ne comprend vraiment pas.
Le gérant du magasin apporta de la glace et je la mis sur mon oeil. J'allais avoir un beau coquard. Je me voyais bien dire à mes futurs clients : " bienvenue, je suis votre nouveau médecin.", mais qu'est-ce que les gens de cette île me reprochaient ? Deux agressions à 8 jours d'intervalle c'était pire qu'à Washington D.C. Enfin fort heureusement pour moi, il y avait aussi des gens aimables et cela encourageait à rester malgré tout. Je pris le parti de sourire de mes mésaventures.
Vous savez, je me suis installée ici car je pensais que ce serait calme, que je ne serais qu'un simple médecin que les malades salueraient en la croisant dans la rue, que je pourrais enfin vivre sans avoir peur et que tout serait autrement qu'à Washington. Mais je commence à réellement me poser des questions. A peine cicatrisée d'un côté que me voilà frappée de l'autre et toujours sans comprendre le pourquoi ? Y a t-il eu d'autres cas que le mien ? Avez-vous une idée de qui m'a agressée aujourd'hui et pourquoi ? Vous devez croiser pas mal de criminels ou de gens violents non ?
Et voilà que je recommençais à poser des tas de question à la personne qui venait à mon secours. Mais je connaissais si peu de monde en dehors du maire, du gérant du Daedalus et quelques commerçants que j'avais côtoyés. Je me disais que mon arrivée devait gêner quelqu'un ? Je ne comprenais pas cette situation rocambolesque et tout ce que je souhaitais, était que l'on m'aide à comprendre. Attirais-je la violence ? Je regardais l'homme qui gentiment me proposait son aide mais je ne voulais en aucun cas aller à l'hôpital. Je connaissais mon corps et je savais qu'il n'y avait pas de fractures. Au besoin d'ici quelques jours, je me rendrais à la radiologie. Même pour ma première agression, je n'avais pas estimé nécessaire de me rendre à l'hôpital.
Jeu 24 Oct - 9:38
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Une agression gratuite Pour quelqu’un qui venait de se faire agresser, elle la trouvait plutôt vivace, mais peut-être était elle encore sous le choc, elle semblait visiblement bouleversée en tout cas. En l’écoutant, il se dit qu’elle n’avait vraiment pas de chance, poignardée il y a 8 jours, puis violenté aujourd’hui. Enfin, elle est encore vivante, c’est une bonne chose.
«C’est une manière de voir les choses, moi je dirais que vous avez une bonne étoile pour être encore vivante après tout cela». Ironisa-t-il, il voulait essayait de détendre un peu l’atmosphère.
Il n’insista pas pour la conduire à l’hôpital, bien qu’il trouvait cela une mauvaise idée. Certes elle est médecin, mais avec son état, il doutait qu’elle puisse se soigner, appliquer un bandage pour exemple et une côte fêlée n’est vraiment pas une chose à prendre à la légère. Mais c’est le problème qu’ont beaucoup de médecins il a remarqué, il refuse de se faire soigné, des têtes de mule, mais non pis il n’allait pas la traîner jusqu’à l’hôpital le plus proche. C’est vrai qu’Adreven n’est pas si loin que ça, mais il faut tout de même un peu de courage pour venir ici à pied ou à vélo, beaucoup ne le font pas. De plus il faut oser braver le climat rude d’ici et ses basses températures. Elle lui demanda s’il pouvait l’aider à retrouver son agresseur. Oui c’est dans ses moyens, en tant que procureur, il a quelques contacts dans la police. Il pourrait s’assurer que ceux-ci retrouvent l’homme pour qu’ensuite il s’occupe de le porter en justice, madame étant tout à fait dans son droit de porter plainte.
«Je suis avocat, mais aussi procureur, je peux appeler un de mes contacts à la police pour qu’il s’occupe d’attraper pour agresseur, je suivrais moi aussi votre dossier et une fois l’homme attraper, je m’occuperais de démarches par la suite, car je suppose que vous souhaitez porter plainte ?»
Il lui demanda s’il avait d’autres cas comme le sien. Il avait eu peu de cas d’agressions à vrai dire. La plupart de ses clients sont des entreprises, des couples cherchant le divorce, des querelles sur des successions, des employés souhaitant porter plainte contre leur employeur, mais des agressions comme cela non pas vraiment. Elle veut bien le croire, mais lui personnellement lui ne s’est jamais sentie en insécurité ici. Peut-être a-t-elle une sorte de malédiction sur elle qui attire le mauvais oeil, ce genre de chose.
«Pour vous dire la vérité non, je n’ai jamais eu un cas comme le vôtre. Mais si vous avez l’impression d’être prise pour cible, vous devriez aller voir la police».
Pas sûr que cela soit très efficace pensa-t-il, mais il ne savait pas vraiment quoi lui dire.
«J’espère pour vous que ce n’est qu’une mauvaise passe, ce serait dommage, Caelesti a de si beau paysage».
Il sortit une de ses cartes de visite qu’il avait dans la poche intérieur de sa veste.
«Voici ma carte de visite, n’hésitez pas à venir me voir à mon bureau. Si vous avez l’impression d’être suivis ou d’être en danger, vous pouvez m’appeler aussi». Dit-il la regardant dans les yeux. Il ne savait pas trop dans quoi il s’embarquait en disant cela, peut-être avait-elle de gros ennuis, il espérait que non.
J'avais une bonne étoile ? Oui c'était une façon de voir, disons que j'étais vivante, oui là c'était plus réaliste. Il n'insista pas pour me conduire à l'hôpital pour mon plus grand soulagement. Ainsi il était aussi procureur, ma foi j'aurai pu me douter qu'il avait de hautes fonctions ne serait que par rapport à sa tenue. Je me mis à le détailler et ma foi, il était plutôt bel homme et très courtois de surplus.
Il me proposa de contacter des relations dans la police afin de retrouver mon agresseur, je buvais ses paroles et je me dis que je le laisserais agir comme bon lui semblait. Après tout il connaissait sûrement mieux que moi ce qu'il fallait faire. Soigner les gens était dans mes cordes tout comme m'occuper de mon cas mais je n'oubliais pas cependant que c'est Hector qui avait dû me recoudre faute que je puisse attraper ma plaie. D'ailleurs il allait devoir me retirer mes fils ce soir ou demain. D'où ma double réticence de ne pas aller à l'hôpital, je n'avais pas besoin d'un interrogatoire.
- Je ne pense pas être une cible vu que je ne connais qu'un nombre minimal de personne à Caelesti et celles que je connais ne me feraient pas de mal. Ce sont surtout des artisans, des médecins vu que j'ai passé mes commandes à l'hôpital, et disons les clients que j'ai dû croiser au Daedalus. Mais il est vrai que Caelesti a de très beaux paysages.
Disons surtout que je n'avais pas envie d'aller voir la police car là aussi on m'aurait posé de tas de questions et encore plus s'ils voyaient toutes les cicatrices qui jalonnent mon corps. Il sortit une de ses cartes de visite qu’il avait dans la poche intérieur de sa veste.
«Voici ma carte de visite, n’hésitez pas à venir me voir à mon bureau. Si vous avez l’impression d’être suivis ou d’être en danger, vous pouvez m’appeler aussi». Dit-il me regardant dans les yeux.
Son regard me troublait quelques peu et j'avais envie de rester plus longtemps avec lui. Cependant je me disais que de sortir se promener dans la rue avec une femme qui avait un oeil au beurre noir et se tenait les côtes nuirait sûrement à sa réputation. Je ne cherchais pas à le draguer mais il semblait bien connaître la ville et un bon guide serait le bienvenu. Je pris sa carte.
- Je ne manquerais certainement pas de vous contacter et je pourrais peut-être simplement vous demander de me servir de guide à vos heures perdues.
La glace que j'avais mis sur mon oeil avait bien calmé ma douleur et une fois chez moi, je pensais me faire un pansement serré tout autour de mes côtes afin de pouvoir travailler malgré tout. Je devais ouvrir mon cabinet dans huit jours et j'allais commencer avec un beau cocard, les clients allaient se poser des questions. Ma foi, il allait falloir jouer avec le maquillage. Soudain je réagis à une évidence que je n'avais pas envisagée.
- Pourriez-vous me raccompagner ? Enfin si vous avez le temps car faire du vélo, même électrique, sans être maintenue au niveau des côtes, risque d'aggraver ma situation.
Jeu 7 Nov - 10:21
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Une agression gratuite Il fut rassuré lorsqu'elle lui dit ne pas être prise pour cible. Il ne manquerait plus que ça qu'elle soit la cible d'une sorte de détracteurs ou d'une personne voulant se venger par exemple. Mais à l'entendre dire il ne semblait pas, elle semblait plus être le genre de personne se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment. Ou peut-être n'était-ce qu'une coïncidence, en espérant... c'est sûr que pour une arrivée cela laisser une sacrée impression. Il espérait que cela ne la fasse pas fuir, elle est médecin en plus et Caelesti en à besoin, on a toujours besoin de médecins de manière générale. Peut-être est-ce dû à l'amabilité de la jeune femme où le fait qu'elle soit blessée, mais il n'avait aucune envie de se montrer froid, comme à son habitude, au contraire il se montrait courtois et patient. Preuve qu'il n'est pas qu'un rustre après tout, il a un cœur. La beauté de la jeune femme devait aussi y être pour quelque chose, le déstabilisant un peu sûrement.
Il lui donna aussi sa carte, elle peut très bien être une cliente potentiel pour lui et puis son histoire l'intéressé, il faudra qu'il passe un coup de fil au chef de la police en espérant qu'il ne donne pas l'affaire un certain lieutenant de sa connaissance, tout sauf avoir affaire de nouveau à ce type. S'il le revoit, il est bien possible qu'il perde son sang-froid, ce serait bien la dernière chose à faire. Il le dire assez souvent, ici les règle sont différentes, il ne tient pas à perdre toute sa crédibilité en tant que procureur et pas la même occasion perdre sa place. Puis, elle eut une réaction imprévue, elle lui demanda s'il pouvait lui servir de guide. Un sourire se dessina sur ses lèvres, il aime les personnes qui vont droit au but, peut de personne n'auraient osé faire cela. Elle lui demanda ensuite de l'accompagner pour rentrer chez elle.
"Vous ne comptez tout de même pas faire du vélo dans votre état ? Laissez-moi vous appelez un taxi"
Pressentant sa réponse il se permit d'ajouter.
"Ou venez chez moi plutôt j'habite juste à côté, cela vous fera moins de chemin".
Il se rendit compte trop tard de ses propos, il espérait que ce ne pas mal interprété, après tout il est encore comme un inconnu pour elle. Mais il trouvait juste que la laisser reprendre de vélo dans cet état-là n'est vraiment raisonnable.
"Vous ne comptez tout de même pas faire du vélo dans votre état ? Laissez-moi vous appelez un taxi ou venez chez moi plutôt j'habite juste à côté, cela vous fera moins de chemin".
Je regardais Sven en souriant, je trouvais qu'il était fort galant et ma foi très diplomate. Sa proposition de me rendre chez lui n'était pas des plus anodine mais après tout si nous pouvions parler plus tranquillement de mon agression et de ce qu'il envisageait de faire pourquoi pas. De plus me reposer plus confortablement que j'ai le vitrier me ferait le plus grand bien.
J'accepte volontiers votre offre ainsi vous pourrez m'expliquer un peu la procédure que je dois entamer d'une part et d'autre part, les visites que vous allez me proposer dans ce coin de Caelesti. J'avoue que depuis dix jours je fais plus les boutiques en vu de mes achats pour finaliser mon cabinet que de découvrir la ville. J'aimerai ouvrir dès la semaine prochaine et pas camper au milieu de mes meubles. Actuellement je demeure sur mon yacht plus que dans mon appartement, je finis mes peintures.
Je me rendais compte que spontanément je me confiais à lui et lorsqu'il me tendit mon manteau pour m'aider à l'enfiler, je me glissais dedans sans hésitation. Nous sortions alors et je remerciais encore le vitrier pour l'aide qu'il m'avait apportée. Machinalement, je pris le bras de Sven afin de m'appuyer et ne pas glisser sur la glace, j'en avais bien eu assez pour une seule journée.
J'adore sentir la fraîcheur sur mes joues, ce froid vivifiant fait circulait le sang. Bêtement je me sens mieux même si je suis loin d'avoir une forme olympique. Je me pensais dans un paradis et deux agressions ont failli me dissuader que s'en était un. Fort heureusement à chaque fois des gens serviables me rendent service et prennent soin de moi.
Je lui souriais tout en espérant être bientôt arrivée car le froid commençait de me transpercer.
Jeu 5 Déc - 16:36
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[Désolé pour l'attente ><"]
Une agression gratuite Il espérait qu’elle ne prenne pas mal sa remarque ou qu’elle se fasse du coup des idées sur lui. Il avait dit cela une matière totalement désintéressé. C’est une belle femme sans aucun doute, mais là n’était pas le moment de draguer, elle est blessée après tout, le plus important est de s’occuper de cela. Il n’est pas ce qu’on pourrait appeler un dragueur, plutôt solitaire dans l’âme à vrai dire. Il l’a toujours été de nature, mais depuis l’incident avec Fenrir, il s’est renfermé un peu plus sur lui-même. Il s’est forgé une carapace, ne laissant plus personne l’approché, ne montrant ses sentiments à personne. Au fond de lui il ne ressent plus maintenant que la colère, difficile donc de baisser sa garde et de se laisser aimer de nouveau, encore moins d’ouvrir son coeur à une personne. Il lui arrive tout de même quelquefois de satisfaire ses envies avec quelques aventures d’un soir, mais rien de sérieux, rien de concrêt. C’est bien ainsi, il ne veut pas s’attacher à quelqu’un, cela le ralentirait dans sa tâche. Il n’oublie pas son objectif, il faut qu’il retrouve Odin, aucune distraction n’est permis avant ça. Quand après... C’est encore trop tôt pour y penser à cela, il ne préfère d’ailleurs même pas y penser. Qu’est-ce qu’il fera ensuite ? Il n’en a aucune idée, mais dans tous les cas, il doit se faire justice, Odin doit répondre de ses actes.
Mais pour l’instant, il est bien loin de ses préoccupations là, complètement focalisé sur le sort de la jeune femme. S’il sourit tout en acceptant sa proposition. Elle souhaitait qu’il en dise plus sur la procédure à suivre dans son cas. C’est bien normal, il le ferait dès qu’ils seront à l’appartement. Elle lui raconta ensuite ses aventures pour l’ouverture de son cabinet. Elle termina en disant qu’elle séjournait actuellement plus dans son yacht que son appartement. Il fut pas surprit, les médecins gagnent bien la vie ici. Il y en a peu, alors les gens font avec. Enfin, lui n’est pas concerné étant un dieu, il a une santé de fer. Il se proposa ensuite de l’aider à mettre sa veste. Puis il la laissa s’agripper à lui pour marcher, il ne s’en formalisa pas, le mieux est qu’elle ne tombe pas de nouveau. Ils sortirent donc dehors et commencèrent à marcher lentement, mais sûrement. Il la regarda pour s’assurer qu’elle aille bien, elle a beau dire que cela va, il veut tout de même s’assurer qu’elle ne lui dise pas ça uniquement pour faire bonne figure et qu’elle lui cache sa souffrance.
«Vous êtes une femme courageuse. Cela demande une certaine dose de courage pour se relever et garder la tête haute malgré les difficultés».
Après quelques minutes ils arrivèrent dans son appartement. Une fois à l’intérieur il l’aida à s’asseoir sur le canapé. Comment décrire son appartement, voyons... C’est un grand appartement, il y a sa chambre, une chambre d’amis, une salle avec différents équipements de sports, une pièce qu’il utilise comme son bureau, cuisine, salle de bain, etc... La décoration y est sobre et soigné, bien qu’impersonnel peut-être. Tout est bien rangé et la propreté est impeccable.
«Je vais chercher la trousse de soin. Souhaitez-vous aussi une boisson chaude pour vous réchauffer ?»
«Vous êtes une femme courageuse. Cela demande une certaine dose de courage pour se relever et garder la tête haute malgré les difficultés».
Après quelques minutes nous arrivions dans son appartement. Une fois à l’intérieur il m’aida à m’asseoir sur le canapé. Comment décrire son appartement, sobre et soigné, bien qu’impersonnel peut-être. Tout était bien rangé et la propreté impeccable.
«Je vais chercher la trousse de soin. Souhaitez-vous aussi une boisson chaude pour vous réchauffer ?»
J'eus l'impression d'être prise en flagrant délit d'observation mais je lui souris en acceptant volontiers une boisson chaude. Il revint au bout de quelques minutes avec la trousse de soins. Je lui demandais alors de m'aider à me déshabiller afin de voir ce qu'il se passait en dessous. Lorsque je posais mon manteau une première douleur se fit sentir. Je me levais en serrant les dents afin de ne pas pleurer. Je dégrafais mon corsage et la douleur me coupa le souffle. Je sentais nettement mon point douloureux.
Avez vous une glace où je pourrais me voir ?
Il me conduisit alors dans sa salle de bains, elle était spacieuse, bien aménagée comme le reste et une immense glace couvrait le mur. Je regardais alors mon torse et un bel hématome apparaissait déjà au bas de mes côtes. Les larmes montèrent alors à mes yeux.
Ce qu'il me faudrait serait un bandage serré mais cela risquerait de comprimé l'hématome et ne ferais qu'amplifier la douleur, je vais donc vous demander de la glace afin de réduire l'épanchement afin que l'hématome ne se répande plus et si vous avez une pommade à base de camphre ou d'arnica, elle sera la bienvenue pour la suite.
Je regardais mon compagnon qui semblait perdu avec sa boite de soins. Mais j'étais dans mon domaine et je savais quoi faire.
Nous allons commencer par mettre de la glace, ensuite je prendrais ma boisson chaude qui sera la bienvenue et ensuite je vous demanderais de me passer doucement la pommade sur tout l'hématome en allant doucement afin de ne pas enflammer les côtes. Je pense qu'elles sont fêlées. Pour finir vous me ferait un bandage non serré en évitant la plaie que j'ai dans le dos.
En effet Hector m'avait bien recousue et fait un beau pansement mais je ne devais pas tout fermer afin de laisser respirer ma peau. Je n'osais poser entièrement mon corsage mais je n'allais pas avoir le choix. Qu'allait penser Sven en voyant mon dos et ses huit cicatrices pas très sympas. Mais la vie à Washington D.C n'était pas si facile dans les bas quartiers. Et si nous parlions de la possibilité de retrouver mon agresseur ou simplement comment faire pour que je cesse d'être agressée ?
Je lui souris et plaisantais :
Je devrais peut-être rester enfermée et ne plus poser un pied dehors ou m'offrir un garde du corps ? Mais je pense que je n'aurais pas les moyens, je viens de m'offrir pas mal de mobilier et autres nécessités et mes finances ne suivraient pas.
Je repris mon sérieux :
Avez-vous eu d'autres cas comme moi ? Des agressions gratuites ? N'y a t-il pas un service d'ordre qui pourrait empêcher cela ?
Spoiler:
Je me remet à jour doucement, je n'ai rien fait de toutes les vacances de fin d'année, merci de ta patience
Jeu 23 Jan - 13:44
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[Pas de soucis, désolé pour l'attente aussi ><"]
Une agression gratuiteIl n'est pas habitué à recevoir du monde chez lui, ainsi il sentait, pas gêné, mais cela lui fit bizarre. Il lui arrive quelques fois de ramener une personne, homme ou femme il n'a jamais eu de préférence, pour une nuit. Rarement plus longtemps, il n'est pas du genre à s'engager, les relations d'un soir sont donc très bien pour lui. L'amour est de toute manière une notion bien abstraite pour lui, il n'a d'ailleurs jamais approuvé de genre de sentiment d'ailleurs. Il faut dire qu'il n'est pas facile d'approche et même s'il se montre courtois au poli certaines fois, il ne parle pas de lui, de sa vie comme cela. Pour l'instant il s'accroche encore à l'idée qu'il n'a pas besoin de cela, qu'il a un but à accomplir, il ne peut donc laisser rien ni personne entraver ça. Aussi au pudeur, encore une fois pour ne pas se dévoiler, dévoilé ses faiblesses. Mais peut-être a-t-il justement besoin de ça pour combler le vide dans ce cœur, ce trou béant dû à des années de rejet de et railleries.
Elle souhaitait une glace, sûrement pour jeter un œil à l'état de sa blessure, il la conduisit donc à la salle de bain. Il sortit la trousse de bain, la posant du le meuble, près de l'évier. Elle souhaitait qu'il l'aide à enlever ses vêtements, ce qu'il fit, sans aucune arrière-pensée et essayant d'être le plus délicat possible, ce qui n'est pas vraiment évident avec lui. La délicatesse n'est pas vraiment une chose qu'il connaît, mais bon il tache de faire de son mieux.
"Hmm... Vous avez un bel hématome".
Une blessure qui pour lui serait bénigne, mais bon il est un dieu et donc à une meilleure résistance qu'un être humain. En plus, il a la particularité d'avoir la peau très dur, bien résistance ou coup pu au choc, c'est l'une de ses capacités. La trousse ? C'est au cas où, il n'est pas non plus incassable et n'est pas protégé non plus d'un coup de poignard ou autres. Bref, il n'est pas invincible. Il ne put s'empêcher tout de même de jeter un œil à son dos, son œil attiré par toutes ses blessures, dont certaines semblaient plus vieilles, pas d'aujourd'hui en tout cas. Il se rappelle qu'elle lui avait dit que ce n'était pas la première fois. Tout en prodiguant les soins, suivant scrupuleusement ses conseils à lettre, il continua à lui parler.
"Vous n'avez jamais pensé à prendre des cours d'autodéfense ? Au mois la prochaine fois, vous pourrez vous défendre. Je peux vous enseigner quelques petits trucs si vous voulez, je maîtrises de nombreux styles de combat".
Elle semblait dépassée par les événements et il pouvait la comprendre, elle a du en baver. Ce ne doit pas être facile d'arriver ici seul, de gérer un déménagement, une ouverture de boutique et tous ces désagréments. Elle ne doit en plus pas se sentir en sécurité.
"Non, je n'ai pas entendu parler de services d'ordre ici".
Après un moment de silence il reprit.
"Si vous ne vous en sentez pas, vous pouvez rester ici cette nuit, j'ai une chambre d'amis. Enfin, sauf si cela vous met mal à l'aise, je comprendrais. Je peux aussi vous conduire à votre travail. S'il y a le moindre souci, n'hésitez pas à m'appeler".
Il se dirigea vers la porte, voulant prendre la direction de la cuisine, mais avant il se stoppa.
Tout en prodiguant les soins, suivant mes conseils à lettre, il continua de me parler.
"Vous n'avez jamais pensé à prendre des cours d'autodéfense ? Au mois la prochaine fois, vous pourrez vous défendre. Je peux vous enseigner quelques petits trucs si vous voulez, je maîtrises de nombreux styles de combat. Non, je n'ai pas entendu parler de services d'ordre ici".
Je le regardais plus attentivement, cet homme était surprenant décidément.
Après un moment de silence il reprit.
"Si vous ne vous en sentez pas, vous pouvez rester ici cette nuit, j'ai une chambre d'amis. Enfin, sauf si cela vous met mal à l'aise, je comprendrais. Je peux aussi vous conduire à votre travail. S'il y a le moindre souci, n'hésitez pas à m'appeler".
Il se dirigea vers la porte, voulant prendre la direction de la cuisine, mais avant il se stoppa.
"Je vais préparer du thé déjà, je vous laisses y réfléchir".
Je le regardais s'éloigner dans la cuisine et je me disais que c'était agréable de se faire choyer de temps en temps. Je passais mon temps à m'occuper des autres mais si peu à m'occuper de moi. Et voir une personne aussi attentionnée vis à vis de moi était plutôt réconfortant. Je ressentais soudain comme un besoin que quelqu'un se préoccupe de moi. C'est ainsi que lorsqu'il réapparut avec son plateau et le nécessaire pour le thé que je lui donnais ma réponse.
" J'accepte volontiers. Je veux dire par là que j'accepte de prendre des cours d'autodéfense avec vous et j'accepte aussi votre chambre d'amis si vous êtes sûr que je ne vais pas déranger. Sortir de nouveau dans ce froid avec le soir qui arrive si vite, je ne suis pas trop tentée. J'espère arrivée à reprendre mon vélo pour entrer demain chez moi mais je mettrais la matinée. Je ne veux pas abuser de votre gentillesse vis à vis de ma personne."
En réalité je ne désirais absolument pas le quitter, il était comme une énigme qu'on a envie de résoudre, qui vous tient en haleine et dont on se demande qu'elle sera la prochaine étape. Oui je me sentais bien en sa compagnie et pourrait-il m'expliquer qui je suis et d'où je viens réellement ? Non autant m'en tenir qu'à Hector. Je ne voulais pas effrayer cet homme dont je désirais devenir l'amie.
Je pris volontiers la tasse de thé qu'il me tendait et je bus une petite gorgée. Je le regardais en souriant et je réagis soudain.
" Je vais vous donner du travail supplémentaire, dites moi comment je peux me rendre utile.....Enfin tant que vous ne me demandez pas une épreuve de force je pourrais vous le faire"
Pas facile de se rendre utile lorsque l'on a des soucis de santé et je me trouvais gênée de squatter chez ce bel inconnu qui était prêt à me rendre service sans même savoir qui j'étais.
Mer 4 Mar - 9:44
Date d'inscription : 07/10/2018
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Je suis : Avocat
Mon Gamma est : Un tatouage en forme de fléche (rune Tiwaz) sur l'avant-bras gauche
On m'appelle : Tyr
Je possède le pouvoir de : Manipuler le vent, j'ai aussi une force accrue et une peau très résistante.
J'ai rejoins le clan de : REBELLIOUS
Je suis d'origine : D'Asgard
Sven Madsen
Une agression gratuiteD'ordinaire il n'aurait jamais permis à une inconnu de pénétrer chez lui comme ça, enfin sauf pour ses plaisirs personnels de temps à autre, il est comme tout le monde après tout. Mais jamais sinon il n'a accueilli d'inconnus chez lui, par méfiance. Comme chaque guerrier il est sur le qui vive, voyant tout le monde comme un potentiel ennemi. Ce n'est pas vraiment pour ses objets de valeurs qu'ils a peur, mais c'est pour le principe même. Mais concernant Samantha, elle est blessée, elle n'est pas en état de rentrer ça c'est sûr. Qui plus est, il trouve cela perturbant qu'elle ne se sent pas en sécurité dans les environs. Il ne peut pas ignorer tout cela. On a tendance souvent à croire que c'est quelqu'un d'orgueilleux et arrogant, mais du moment que l'on ne le contrarie pas, il peut être tout à fait serviable et aimable.
Après être descendu préparé du thé il revint avec le nécessaire pour le thé sur un plateau et posa ça sur la table de chevet dans la chambre, l'invitant à le rejoindre, tout en l'aidant à marcher. Il l'aidant à s'installer sur le lit. Elle lui dit être d'accord pour prendre des cours d'autodéfense.
"Je vous en prie, il n'y a que moi ici et ce ne serait pas correct de vous laisser repartir dans cet état".
Puis il ajouta.
"Je vous préviens je suis plutôt exigeant, mais si vous suivez à la lettre mon entraînement, tout ira bien."Dit-il, affichant un léger sourire.
"On ne fera que les bases, je ne veux pas vus embêter avec le reste, cela pourrait prendre plusieurs années".
Puis elle lui demanda si elle peut faire quelque chose pour l'aider. Décidément, elle est vraiment très polie, un peu trop, mais c'est n'est pas un défaut loin de là. Cela l'amusait en fait. Il leva un sourcil.
"Vous avez plusieurs côtes fêlés, vous voulez m'aider à quoi ? Faire le ménage ?"
Puis il lui sourit.
"Faites-moi plaisir et reposez-vous, il vaut mieux que vous restez immobile si vous voulez guérir vite".
"Je vous préviens je suis plutôt exigeant, mais si vous suivez à la lettre mon entraînement, tout ira bien."Dit-il, affichant un léger sourire.
"On ne fera que les bases, je ne veux pas vous embêter avec le reste, cela pourrait prendre plusieurs années".
Alors que je demandais si je pouvais l'aider, je le vis lever un sourcil et dire :
"Vous avez plusieurs côtes fêlés, vous voulez m'aider à quoi ? Faire le ménage ?"
Puis il me sourit.
"Faites-moi plaisir et reposez-vous, il vaut mieux que vous restez immobile si vous voulez guérir vite".
Ma foi j'étais plutôt bien installée et me faire chouchouter un peu ne me ferait pas de mal. Je me demandais cependant pourquoi autant de monde désirait attenter à mes jours et surtout le pourquoi. Tout cela restait un mystère mais si Sven pouvait me montrer quelques gestes d'auto défense, je me disais que je serais plus apte à parer les coups.
Je réfléchissais soudain que toutes les autres agressions que j'avais subies à Washington seraient peut-être dues aux mêmes agresseurs. Je m'embrouillais vraiment le cerveau avec des coïncidences qui n'avaient peut-être aucun lien et que je devais simplement être malchanceuse et me trouver toujours au mauvais endroit au mauvais moment.
Du coup j'appelais mon hôte et je lui demandais le plus naturellement possible :
- Que pouvez vous me dire de cette île ? Des conflits existent ils entre des bandes rebelles ou je ne sais quoi ? Je ne veux pas vous mettre à l'aise, je me pose juste la question et peut-être que je ressemble à une personne non "désirable". D'autre part si avant la pratique vous m'expliquiez quelques astuces d'auto défense j'avoue que je serais très attentive aux leçons de pratique car je mettrais en oeuvre la théorie.
Spoiler:
Navrée pour ce retard mais mon époux et mon fils sont en télétravail et pompaient toute la connexion et vu que j'étais en wifi, je ramais à fond, cette fois je suis en direct
Lun 20 Avr - 15:57
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[Pas de soucis, ne t'inquiète pas, fais comme tu peux ]
Une agression gratuite Il comprenait le souhait de Samantha de vouloir se rendre utile, elle voulait le remercier de son hospitalité, mais c'était un peu prématuré. Pour l'instant il préfère grandement qu'elle se repose et récupère de ses blessures. Elle a les fêlées, donc il vaudrait mieux qu'elle évite tout effort physique. Il avait dit cela un peu sèchement en y repensant, mais c'est son caractère. Très souvent il se montre directif, sec et parfois même hautain et il ne s'en rend pas forcément compte. En tout cas, cela ne semblait pas avoir offusqué la jeune femme, tant mieux. C'est drôle, car la plupart du temps il s'en fiche de contrarier les gens, comme il se fiche de ce qu'on peut penser de lui, mais il aime bien la jeune femme, enfin de ce qu'il a pu voir pour le moment. Elle est polie, respectueuse, courageuse et il apprécie aussi son franc-parler, sans oublier que c'est une belle femme, il n'est pas insensible à ses charmes.
Il a beau se dire qu'il a besoin de personne, il ne peut pas contrôler ce qu'il ressent. Il peut tenter de la cacher par contre, ce qu'il fait la plupart du temps, il a cette carapace qui ne laisse entrevoir aucune faiblesse, aucune faille. Il est un guerrier après tout, un guerrier ne montre pas ses faiblesses, il reste fort peu importe la situation. Mais les préoccupations de cœur mis à part, son problème le préoccupe, elle est tout même la cible de plusieurs attaques, ce ne peut pas être juste la malchance. Il va devoir enquêter sérieusement là-dessus. Il est procureur et un très bon même, sans se vanter, donc cela devrait le faire.
Lorsqu'elle parla de bandes rebelles, il ne put s'empêcher de penser aux Rebellious et Garden. Même ici, les querelles entre ces deux groupes n'ont pas tout à fait disparu. Bien sûr, ici il y a des barrières légales, en tout qu'avocat il n'est que trop bien au courant. Ainsi il ne peut pas se permettre de faire ce que bon lui semble. Sinon, il y a un certain inspecteur par exemple qu'il aurait bien... éliminé pour dire les choses proprement. C'est un Garden après tout et un fidèle d'Odin. Enfin, il s'emporte peut-être un peu vite, il n'a aucune preuve qu'elle soit une divinité. Il y a des humains aussi ici. Il fallait d'abord qu'il essaie de mettre ça au clair. Est-elle humaine ou non ? Il préfère pour l'instant la traiter comme telle.
"Il y a en comme partout, mais ces clans s'attaquent entre eux, jamais il s'attaquerait à une innocente. Nous pourrons commencer l'entraînement dès lors que vous êtes guérie si vous le souhaitez".
Du moins il l'espérait. Lui-même faisant partit des Rebellious, il a tout de même un certain code de conduite. Jamais il n'attaquerait un innocent, de toute manière il n'a qu'un objectif, Odin. Mais il ne peut pas en dire autant des autres Rebellious, il y en a sûrement qui n'hésiteraient pas. De là à dire que l'un d'eux est responsable de l'état du docteur, c'est possible, mais encore bien trop tôt pour le dire.
"J'aimerais dans le cadre de l'enquête que vous me parliez un peu plus de vous. Est-ce que vous voyez dans votre entourage quelqu'un qui vous veut du mal ?" :copyright:️ 2981 12289 0
Ven 15 Mai - 12:32
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On m'appelle : Docteur Sam
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Une agression gratuite
Samantha et Sven
"Il y a en comme partout, mais ces clans s'attaquent entre eux, jamais il s'attaquerait à une innocente. Nous pourrons commencer l'entraînement dès lors que vous êtes guérie si vous le souhaitez".
J'écoutais bien ce que me disait Sven mais si ce n'était pas les clans qui désiraient me supprimer ou du moins me faire du mal qui cela pouvait-il être ? La question de Sven me ramena à la réalité.
"J'aimerais dans le cadre de l'enquête que vous me parliez un peu plus de vous. Est-ce que vous voyez dans votre entourage quelqu'un qui vous veut du mal ?"
Que dire de moi face à un homme comme lui. Ma foi je décidais de lui faire un petit résumé de ma vie. Je suis née dans un petit village où ma mère était institutrice et mon père jardinier. Ils m'ont conçue pour sauver ma soeur atteinte de bêta-thalassémie mais le destin en a décidé autrement. A 16 ans j'ai quitté le foyer familial pour continuer mes études à Washington où j'ai vite été confrontée à une violence sans égale. J'ai fait 7 ans aux urgences. A 24 ans je me suis installée avec un ancien médecin. Mes débuts furent difficiles mais dès lors que j'eus commencé et fais une réputation tout allait mieux. J'ai rencontré un homme, nous devions nous fiancer mais il s'est tué après avoir trop bu. J'ai mon permis voiture et mon permis bateau. Que dire de plus ? J'ai fait un burn out et une amie m'a proposé son yacht pour que je puisse évacuer mon stress et je suis arrivée ici.
Je ne savais quoi lui dire et pourtant cet homme me plaisait, j'avais envie de lui dire ma vie, mon fichu caractère, mes blessures, mes joies. En fait je n'avais pas du tout envie de le quitter.
Je ne vois aucune personne de mon entourage qui puisse me vouloir du mal. Je connais peu de monde, et le peu que je connais est somme toute de très bonne compagnie.
Alors qu'il était assis, je retirais mon corsage et baisser mon pantalon jusqu'à la moitié de mes fesses et lui dit :
Je vous fais remarquer que je n'en suis pas à ma première agression, je ne vous demande même pas de compter les cicatrices.
Je restais debout devant lui tournant lentement et mon corps devait compter plus d'une vingtaine de cicatrices dues à des agressions brutales. Je me dis qu'il devait avoir remarqué la cicatrice récente que j'avais dans le dos et qu'Hector avait recousue faute de ne pouvoir le faire moi même. Je pris sa main droite et la fis passer sur quelques unes de mes cicatrices.
Vous voyez, je pense que ces petites marques resteront non seulement gravées dans ma mémoire mais aussi à vie sur ma chair. Hélas à Washington, les agressions à l'arme blanche n'étaient pas rares et je pense que je me suis trouvée au mauvais endroit au mauvais moment.Mais ici où tout semble si paisible, je ne comprend pas cette agressivité envers moi
Sa main était chaude et je n'avais pas envie de la retirer.
Sam 23 Mai - 14:53
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[Rp terminé pour moi, je te laisses écrire un dernier Rp pour clôturer ]
Une agression gratuite Il s'inquiétait de l'état de Samantha, le nombre de ses blessures était en effet très important. A ce point, c'était de l'acharnement, trop pour que cela reste anodin. Il n'a pas entendu parler d'un autre cas comme elle sur l’île, alors ce ne peut pas être l'œuvre d'un tueur en série,pourquoi traquerait-il Samantha en particulier ? C'est pour cela qu'il ne penche pas vraiment vers cette hypothèse. Cela veut donc que quelqu'un en veut spécifiquement à la jeune femme. Pour qu'elle raison ? Cela reste à voir, c'est pour cela qu'il commence à tâter le terrain et qu'il lui pose quelque questions. A première vue, il s'agit d'une personne honorable, polie et gentille, elle est médecin qui plus est donc on aurait du mal à croire qu'elle ait pu causer du tort à quelqu'un, du moins pas volontairement. Peut-être un ancien patient qui lui veut du mal ?
Dans tout les cas, il faut imaginer toutes les possibilités, comme le fait qu'elle ne soit pas la personne qu'il pense qu'elle est. Même après des années passées ensemble, on ne connaît jamais une personne après tout. Là ils se connaissent que depuis peu de temps, alors raison de plus. S'il y a bien une chose qu'il a apprit durant ses années d'existence, c'est bien ça. Cela n'est jamais agréable de se faire trahir, surtout par une personne que l'on apprécie et admire, comme ce fut le cas avec Odin. Pourquoi a t'il fait ça ? C'est la question qu'il se pose sans cesse, enfin l'une des questions. Il y a tellement qu'il aimerait lui poser et comme il l'a promit à James, il prendrait le temps de parler, même si au fond de lui il bouillonne de rage.
Samantha lui parla un peu d'elle. Elle ne semblait pas avoir eu une vie facile, mais malgré les coups durs, les difficultés elle avait tenue bon et a réussi à se construire une vie. Il nota que c'est à Washington qu'elle connu ses premiers troubles. Quelqu'un aurait-il pu la suivre de là-bas ? Mais pourquoi attendre jusqu'à aujourd'hui ? Cela ne semble pas très plausible comme piste, mais il la garde tout de même à l'esprit. Apparemment, elle a aussi fait un burn-out, d'où sa venue ici.
"Il peut très bien s'agir d'une personne que vous connaissez à peine, que vous avez juste aperçu, un de vous anciens patient par exemple. Ne vous inquiétez pas, je vais fouiller votre passé de fond en combles et enquêter sur chaque personne qui vous avez pu croisé. Cela prendra du temps, mais je suis sûr qu'on obtiendra des résultats".
Il comprenait tout à fait le désarroi de Samantha, cela doit vraiment être usant comme situation, encore plus si on ignore le pourquoi du comment. Elle fit passer sa main sur les cicatrices qu'elle avait. Il remonta ses yeux vers elle et lui tenta de lui offrir un sourire réconfortant.
"J'ai tendance à croire que ce sont les blessures qui nous renforce, cela forge le caractère. Une fois celle-ci guéries, en en ressort bien mieux qu'avant. Vous vous en sortiez vous aussi, on va tirer cela au clair".
Il se dégagea doucement, se leva et se dirigea vers la porte.
"Reposez-vous, prenez le temps qu'il faudra. Je vais me lever tôt demain pour passer au bureau et commencer l'enquête, faites comme chez vous"
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